Le bonheur des rencontres


Je rédige ce post dans l’avion qui me ramène à DC après un excellent week-end passé en Oregon. Il y a toujours un côté émouvant à revenir sur les terres de sa jeunesse perdue.


J’ai été très heureux de revoir Dan et Joy, une amitié de 20 ans, ainsi que la ville de Portland. L’hôtel où je séjournais en 1989 est toujours là et n’a pas changé, même logo, même entrée. Il y a toujours en face le Fish Grotto, le bar à l’enseigne lumineuse et tapageuse que je voyais de ma chambre. L’immuable Powells book’s store semblerait presque s’être figé dans le temps s’il n’y avait pas leur adresse web visible dès l’entrée. Ce magasin est une institution, ouvert 365 jours par an, ce temple du bouquin annonce disposer d’un stock de plus d’un million de livres, certains sont des éditions rares, presque impossible à trouver ailleurs.

Ce post parle des rencontres, avant de parler des personnes laissez moi vous raconter ma rencontre improbable avec un livre. Un million de livres, 4 étages de rayons…et me voilà soudain devant le rayon livres étrangers avec un choix incroyable de livres Français… Un livre attire mon regard, le design de la couverture fait très vieille France, il s’agit d’une étiquette d’une vieille boite de camembert. J’ouvre donc un livre, un seul, puis une page, une seule, et me voilà découvrant le dessin d’une boite de camembert fabriquée en Vendée, aux Sables d’Olonne. Hasard ou signe du destin ? Rencontre improbable sûrement, surtout dans un livre dédié au camembert. J’immortalise ce moment en prenant en photo la boite en question. Le camembert s’appelle « La Perle », oui c’est vraiment « une perle » cette histoire. Décidemment impossible d’oublier la Vendée depuis que je suis aux Etats-Unis.

Rencontre des lieux aussi..Portland a beaucoup changé. La ville compte désormais un nouveau quartier très chic et branché. Mes amis m’amènent dans une ancienne usine transformée en micro-brasserie, un endroit où la bière est fabriquée et bue sur place. Le genre d’endroit où l’on se sent bien. La bière est bonne, je m’imaginerais bien passer de longues soirées ici à goûter la dizaine de bières différentes proposées.

A propos de lieux, il y a désormais un téléphérique, Suisse, à Portland. On y va en tramway, fabriqué en République Tchèque, pour atteindre une colline et profiter d’une vue qui doit être superbe. Malheureusement, le téléphérique Suisse est fermé en ce lendemain de Thanksgiving.

Le dernier lieu enfin, c’est un restaurant. Un restaurant où la maman de Dan, Jean, accompagnée de son mari, Hugo, ont la bonne idée de nous amener. Le restaurant Higgins, du non de son chef, est établi à Portland depuis 1994. Il y va des endroits comme des gens. Certains endroits sont tout de suite sympathiques, et c’est l’impression que j’ai ici en franchissant l’entrée. L’endroit et chic, mais pas guindé, les tables sont bien espacées, plusieurs niveaux, donc pas l’impression d’une grande salle froide. Les cuisines sont visibles depuis le restaurant, beaucoup de serveurs et évidemment une bonne odeur de plats qui mijotent. J’aime beaucoup.

Le dîner me permet de faire mieux connaissance avec Jean et Hugo. Vraiment des gens charmants, qui connaissent chaque membre du personnel du restaurant, du chef au plongeur. Les parents de Dan viennent 2 fois par semaine, depuis des années. Ils y ont leur table habituelle, près d’une fenêtre. Jean a le regard vif des personnes intelligentes, elle me surprend vraiment quand elle m’annonce avoir lu mon blog. Tout en partageant mon avis sur le post « J’aime / J’aime pas », elle me rappelle qu’il s’agit de Washington, et que ce n’est pas représentatif des Etats-Unis. Avec un œil malicieux, elle me glisse l’adresse un couple blanc/noir qui habite DC. Je lui promets de les contacter.

Hugo est polyglotte. Il parle un français merveilleux et sans accent, en plus de l’espagnol, l’italien, l’allemand un peu aussi. Au fil de la conversation, je découvre une personne que je devine terriblement gentille. Le repas se passe divinement, le chef cuisine juste, mon poisson est parfaitement cuit, les vins blancs d’Italie et d’Oregon parfaits et à bonne température. Un mot d’ailleurs pour dire, que les vins d’Oregon – j’avais visité une cave l’après-midi - m’ont impressionné par leur qualité, Notamment certains rouges Pinot Noir.

Le repas se termine avec un Armagnac, Hugo a préféré un scotch pour finir son repas. L’Amérique me surprendra toujours !

Je remercie Jean et Hugo de leur gentillesse car ils sont heureux de m’inviter ce soir. Tous les 5 nous nous disons au-revoir sur le trottoir en nous faisant un hug collectif.

Oui décidemment une bien bonne soirée et de belles rencontres. Mon seul regret, tout occupé à profiter du moment présent, est que j’ai oublié de prendre des photos.

Les photos de Portland sont ICI.

PS : Encore une heure de vol avant de retrouver Washington DC, je vais demander à mon voisin de droite de bien vouloir se lever. Je vais lui demander gentiment, ses mains sont impressionnantes et il vient juste de plier sa canette de coca, comme moi je plie une serviette en papier.


Thanksgiving Diner

Je peux désormais ajouter un diner de Thanksgiving à mon expérience de la vie américaine. Nous étions 5 à se partager une dinde de 5 kgs, car impossible de trouver plus petit selon Joy. Les amis qu’elle avait invités m’ont raconté que parfois les dindes sont tellement grosses qu’elles ne rentrent pas dans le four. Cette mésaventure leur est arrivée quand ils ont organisés un Thanksgiving pour plus de 20 personnes. Un peu comme lorsque l’on va à Ikea, acheter des meubles 2 fois plus gros que la capacité de la voiture. Sauf que dans le cas de la dinde, vous devez faire face aux rires narquois de vos invités.

J’ai aussi goûté de la betterave jaune, très bon, en plus des 4 autres accompagnements. Tout occupé à festoyer, j’ai bêtement oublié de prendre des photos pendant le repas. Sans doute que le vin d’Oregon servi à flot n’a rien arrangé. Ah j’oubliais, j’ai aussi goûté du champagne provenant de New Mexico, et franchement, je l’ai trouvé meilleur que certain champagne provenant de l’Aube, où le pinot meunier entre d’une façon trop importante dans la composition. Pour info, le champagne d’Albuquerque que j’ai goûté était composé de 75% de chardonnay et de 25% de pinot noir.

Petite anecdote le fromage, acheté spécialement pour faire plaisir à leur hôte français, a été servi après la tarte aux poires.

Oui décidemment une nouvelle expérience dans ma vie.

Toutes les photos ICI

Neige en Novembre, Noël en décembre

L’Oregon c’est un état grand comme la moitié de la France. Dan, m’a amené aujourd’hui à Mount Hood puis retour par l’état de Washington (tout proche du Canada) en longeant Columbia river.

Ce périple nous à pris pratiquement la journée. Nous avons déjeuné à Timberline, un site classé et construit sur la volonté de Roosevelt, qui souhait alors lancer des grands travaux pour faire repartir l’économie américaine après la grande dépression.

En découvrant ce lieu je me suis dit que cet endroit me paraissait familier. Et pour cause, c’est ici qu’a été tourné Shining avec Jack Nicholson.

Bien sûr c'était très sympa de voir autant de neige. Comme le paysage est volcanique, cela ressemble à l'Auvergne mais avec plus de neige.

Toutes les photos ICI.

Le déclin des compagnies aériennes

Je me souviens d’une discussion avec mon regretté oncle, Jacques Raffin, me racontant son expérience des premiers vols transatlantiques dans les années 50. A l’heure du repas, une table était installée et les couverts en argent sortis.



50 ans après le constat est rude, surtout depuis mon vol Washington-Portland avec la compagnie United.

L’aventure commence dès l’enregistrement, où il faut s’enregistrer soi-même. Pas évident, surtout que des tas de questions pièges vous sont posées, en espérant vous soutirer de l’argent. Par exemple, pour une poignée de dollars, on peut couper la file d’attente de la sécurité. Il faut bien sûr toujours enlever sa ceinture et ses chaussures, mais on peut le faire plus vite et en passant devant tout le monde. Enfin je suis content, car j’ai réussi à obtenir auprès de cette machine sans âme, un siège côté couloir (je n’aime pas être coincé sur l’aile, ou pire au milieu de 2 malabars).

Cependant aucun moyen d’échapper aux vingt dollars de taxes, car le passager indélicat que je suis à osé enregistrer un bagage. En plus pour un séjour de 3 nuits en Oregon, vous imaginez bien que je n’ai pas une valise dépassant les 15 kilos.

Aucune hôtesse bien sûr ne vous souhaite la bienvenue quand vous montez à bord, car trop occupées à discuter entres elles.

Je m’installe donc seul sur mon siège préféré, en espérant, un instant, ne pas avoir de voisins pendant ce vol de presque 6 heures. En effet alors que tous les sièges sont occupés, ceux de mes voisins sont vides à quelques minutes du départ.

J’accorde une grande importance aux voisins dans des espaces confinés comme les avions. Je n’aime pas ceux qui reniflent sans discontinuer, ceux qui ronflent, ceux qui essayent de vous voler votre accoudoir, ceux qui sentent la sueur, les stressés, les chieurs, les (trop) bavards, les gosses mal élevés, les taciturnes…bref la liste pourrait être longue.

Je guette donc avec anxiété et espoir les passagers qui se présentent dans le couloir. Se présente une personne obèse, je me dis alors que si c’est mon voisin, j’ai définitivement perdu la bataille de l’accoudoir. Je suis soulagé quand je le vois s’arrêter avant. Deux filles superbes arrivent...espoir vite déçu. Finalement, j’aurai droit au père de famille qui voyage avec sa femme et sa fille. Il me dit que sa fille a peur en avion, et me demande si cela m’embête de changer de place. Gentil comme je suis j’accepte, surtout qu’il me le demande très poliment. Me voilà donc coincé entre deux malabars. Cependant l’un d’eux est sympa, j’apprends qu’il revient d’un mois en Somalie ou sa femme est restée, car lui travaille à Portland. 2 jours de voyage, plusieurs escales..il n’avait pas vu sa femme depuis 2 ans. Il espère lui obtenir un visa l’an prochain. Bref il y a toujours pire que son propre cas.

Arrive l’heure du repas et de la boisson, évidemment tout est payant. La canette de bière est à 6 dollars, par exemple. Je demande à l’hôtesse ce qu’elle propose pour manger, elle me dit qu’il y a le choix entre 25 articles et qu’elle n’a pas le temps de me les citer et que j’aurais du regarder avant, à la dernière page du catalogue. Elle me rit au nez quand je lui demande, s’il y a un plat à base de poisson. Fish ???pfff !! Ambiance. Du coup je ne mange rien..

Deux heures plus tard, je la croise alors que j’attends pour les toilettes (il doit y avoir 2 toilettes seulement pour 200 personnes). J’imagine en riant tout seul, qu’elle me toise du regard. Fish?? pfff ! Non, cette fois-ci sa victime est un père de famille.. N’ayant rien d’autre de mieux à faire, j’écoute sans gêne la conversation. Elle lui reproche de lui avoir mis la main aux fesses pendant le service. Je vous jure, c’est vrai ! Le pauvre homme est interloqué, et je suis sûr qu’il dit vrai. L’hôtesse en question est, il faut bien le dire, plutôt moche, et a sans doute plus d’heures de vol que le vieux Boeing qui m’amène à Portland. Quand je sors des toilettes, elle raconte l’histoire à ses collègues qui semblent blasées. Elle a déjà du leur raconter, qu’un type a osé lui demander du poisson..Pff !

Le reste du voyage se déroule sans encombre car je dors…

Evidemment pas d’hôtesses pour dire au-revoir, c’est mieux ainsi. Elle serait capable, la guenon, de me saluer de son rire gras : « Good bye Mister Fish »

En tout cas, quand United décidera de faire payer les toilettes dans les avions, elle fera une excellente dame Pipi !

PS: Si je retrouve cette hôtesse au retour, c'est promis je lui tape sur les fesses avec un clin d'oeil complice et lui demande, "Elle est comment votre Langouste aujourd'hui"?

Allons fêter Thanksgiving en Oregon

6 heures de voyage, 3723 kms, 9 heures de décalage horaire avec la France. Bref relier la côte Est à la côte Ouest, ce n’est pas rien ici, dans ce pays continent.

Comme tout s’arrête pendant 4 jours because Thanksgiving on Thursday, fête religieuse, me voilà donc parti vers les terres d’Oregon où j’ai séjourné deux mois il y a 20 ans. C’était dans le cadre de mon stage de fin d’études, à la Security Pacific Bank. J’avais fait un programme en DBASE IV, une autre époque.

Le temps est annoncé pluvieux et froid..c’est le problème car le gla gla j’aime pas. Enfin bon, il y a pire dans la vie.

Ce ne sont pas les dindes américaines (j’entends le volatile, pas autre chose J) qui vont me contredirent. En effet aux US, la dinde est un plat de choix pour deux événements qui ont lieu à un mois d’intervalle, Thanksgiving et Christmas. D’ailleurs, de mon reportage au milieu des dindes américaines, j’ai retenu ce dicton au hasard d’une conversation. Si tu danses encore le swing à la Thanksgiving, c’est sûr for Christmas, tu te ramasses. Bien sûr derrière le ton insouciant de leurs conversations, il faut retenir la souffrance et l’angoisse que vivent ces animaux à plumes.

En tant que Président de l’association HMDA (Halte au Massacre des Dindes Américaines) ou SMAT en anglais (Stop Massacre of American Turkeys), je me dois de réagir. Mon programme en deux points:

  1. Vraiment vous avez vu la photo, vous avez toujours envie d’en manger ?
  2. Manger de la Dinde, c’est manger un Dinosaure (De récentes recherches ont démontré que la dinde descend d'une petite espèce de dinosaure, probablement le Caudipteryx. Source Wikipedia).

Bon, ce post a légèrement dévié de son explication d’origine, donc restez connectés pour la suite des mes aventures. Les prochains posts seront créés depuis la côte Ouest.

Marche pour les chômeurs

Depuis 20 ans est organisée à Washington une marche annuelle pour les chômeurs. Chaque participant rapportant 25$ pour le programme d’aide.



Le FMI encourage la participation à cette initiative, et ce samedi matin j’ai rejoins mes 80 collègues à 8h30 pour une marche de 3.5miles dans Washington DC. Un bon moyen de rencontrer des collègues et de parcourir la capitale Fédérale.

Une manifestation à l'américaine, avec pom-pom girls, musique et danse sur le parcours.

Quelques photos ICI

En route vers la célébrité

Résumé rapide des épisodes précédents..

Un message à Hervé, mon beau-frère, mais plus frère que beau, ah ah..et me voilà en contact avec le journaliste local de Ouest France.

Je lui explique que j’ai rencontré, Laurianne, une Vendéenne de St Hilaire de Riez au FMI (voir post Le monde est petit et la Vendée grande en Août dernier). Le canton de St Gilles est donc particulièrement bien représenté. Je lui confie l’histoire brièvement, en lui disant qu’elle pourrait intéresser son journal.

Réponse très rapide du journaliste m'annonçant qu’il est preneur. Il nous demande de répondre à une série de questions qui l’aideront à préparer son article. Il voudrait aussi quelques photos, que nous allons prendre demain, en situation: devant l’écran, devant le logo IMF et peut-être devant la Maison Blanche. En plus les photos seront prises par un professionnel. La classe! :)

Il faudra donc acheter le moment venu l’édition Vendée Ouest, de Ouest-France.
Après la parution, je pourrais alors dire
Vindi(*), Vini, Vici...

Bon, encore un à qui le "succès" monte à la tête ? Non, juste un petit délire...

Je vous tiens au courant dès que l’article paraît.

(*) Au lieu de mettre Veni, qui est l'appellation officielle, j'ai mis Vindi car c'est comme qu'on prononcerait la Vendée ici (rappel les e se prononcent i). C'est mignon comme un Ours comme on dit au Québec!



Voilà donc plus de 4 mois passés ici. L’heure des premières analyses notamment sur mon expérience à Washington DC. Je me suis donc lancé dans l’exercice «J’aime / J’aime pas».


Il y a plusieurs « Amérique » donc ce que je dis concerne Washington DC seulement, même si certains avis s’appliquent à l’ensemble du pays. De plus ce n'est pas une liste exhaustive.

J’aime
  • La courtoisie des gens dans la rue, au volant, dans les magasins... Ici pas d’agressivité comme on retrouve trop souvent en France.
  • Pas de petite délinquance, et ce n’est pas une question de beaux quartiers. Même à Rambouillet essayez de planter des fleurs devant votre jardin sans protection et a l’abri des regards.
  • Pas de dégradation. Les sièges des métros ne sont pas lacérés ou portant des inscriptions racistes, sexistes, grossières.
  • Pas de débordements, de bagarres lors de rencontres sportives ou fêtes populaires.
  • Le sens du service que l on retrouve partout.
  • Le temps, moins grisaille qu’en région parisienne.
  • On ne juge pas ici, pas de regards appuyés sur les gros, les moches, les belles.
  • Aucune crotte malgré le nombre impressionnants de chiens, les Américains ramassent.
  • Les belles voitures, des modèles que l’on ne voit jamais en Europe.
  • Les horaires des magasins, pas de débat stérile sur l’utilité d’ouvrir les magasins le dimanche.

J’aime pas
  • Le puritanisme, on ne montre pas les seins à la télé, on boit dans la rue en cachant la bouteille.
  • Peu de couples noir/blanc.
  • L'absence de commerce de proximité (boucher, poissonnier, fromager...)
  • Les Américains et leur chien-chien, traités comme des enfants. Zeppo si tu me lis, je pense à toi.
  • A part quelques exceptions, les européennes sont plus jolies et surtout mieux habillées.
  • La faiblesse du dollar.
  • Bizarrement pas de culture du voisin ici… Les gens s'ignorent presque dans l’ascenseur.
  • En revanche une forte culture voiture et très peu de transports en commun pour sortir de Washington.
  • Pas de culture écolo, même si cela arrive petit à petit, et gaspillage de sacs plastiques dans les magasins alimentaires.

C'est dimanche, il pleut?

Alors on ne sait pas quoi faire, on s'ennuie? Et si on regardait les photos des RAFFIN?

Plusieurs avantages par rapport à l'après-midi où des amis vous expliquent de façon enthousiaste toutes leurs photos, en accordant à chacune une bonne minute…

1. Vous êtes chez vous, bien assis au fond de votre canapé.
2. Vous pouvez critiquer la qualité des photos puisque nous ne sommes pas là.
3. C’est vous qui pilotez, vous pouvez interrompre à tout moment et cliquer rapidement sur les photos les moins intéressantes.

En cliquant ICI vous verrez la première des 378 photos (désolé elles sont parfois dans le désordre). Cliquez sans craintes, et souvenez vous à quoi vous échappez. Un aperçu ci-dessous...

La première est intéressante, elle nous montre Antoine et moi dans la rue, près de mon appart, qui montre des maisons typiques de Washington.
En quoi sont-elles typiques me direz vous ? Et bien voilà, mais avant je me dois de vous expliquer l’origine de Washington et de la façon dont la ville a été dessinée par l’Architecte Français.
L’architecte de DC était Français me direz-vous ? Et bien oui, fou non ? Mais avant de vous expliquer pourquoi il s’agissait d’un architecte Français, laissez-moi vous expliquer les origines de la guerre d’Indépendance avec les anglais. Des Anglais me direz-vous ? ….



Bande de FMISTES !

Des futurs Fonctionnaires Internationaux? Qu’importe, j’étais content de voir ma petite famille découvrir mon univers quotidien.

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Halloween

Impossible bien sûr de rater Halloween en étant aux Etats-Unis, surtout que les enfants avaient décidés de jouer le jeu. Nous sommes donc allés dans un magasin spécialisé, acheter les déguisements nécessaires. Faux couteau planté dans la tête pour Louis et déguisement de magicien pour Antoine.

Les enfants ont eu un succès fou, notamment auprès de la communauté nippone, et ont été photographiés de nombreuses fois. Je pense qu’ils s’en souviendront longtemps.

Voir la vidéo de ces bons souvenirs.